Le groupe revient en courant,vers le scientifique,criant sur l'homme-cadavre,il semblait se moquer de la colère du vivant.
- je vous entends crié depuis là où nous étions.
- mais qu'es-qui c'est passé ? votre épaule saignent !
- ce prétendu mort,il m'a attaqué !
- je ne l'ai pas attaqué,je l'ai mordu.
- mordre,c'est attaquer
- non,c'est goûté ! je vous ai goûté.

un des scientifiques affirma
- on va pas y passé des heures,vous allez devoir vous faire vacciné
- oui,c'est cela,le vaccin contre la rage,très efficace contre mon virus !
- comment ça ?
- vous me prenez pour qui ? vous souvenez de la guerre biologique ?
- en quel année,c'était déjà.
- en 1647,les premiers documents furent détruit,dans un incendie,ayant causé la mort de 10 personnes,des personnes de votre équipe ! vous nous aviez mis ça,sur le dos ! vous avez tous ravagé,vous nous avez tout pris !
- le document,en question,disait 1713
- c'est faux,j'ai retrouvé le document en question,il bien daté de 1647,la grande ville humaine,c'est construire,sur un sol,recouvert de sang,de personnes mortes,prenez garde,si vous comptez faire revenir les morts,ils pourraient se retourner contre vous !
- ça suffit les conneries ! pour moi,vous n'êtes qu'un malade ! un de ses personnes qui se croit mort !
- je ne suis pas malade,je suis mort,parce tu veux la preuve ?
- ça suffit ! je ne veux plus rien entendre.
l'homme se concentra,il émit un cris obligeant les scientifiques à se boucher les oreilles.
sans raison apparente,un homme sortis de la terre,suivis trois autres personnes.
derrière,un groupe de trois individus approché,même sur la droite,et sur la gauche.
le ciel s'assombris,les yeux des créatures devient brillants,l'ombre de la lune grignote le soleil.
- On ne provoque pas la guerre au morts !
- Qui prépare la paix,ouvre la guerre !
- Vous ne savez rien du mal que vous nous aviez fais !,vous ne connaissez rien de la souffrance !
- je ne cherche pas l'affrontement,je veux seulement,que les conneries s'arrêtent !
- vous voulez vraiment la guerre,je lis dans votre yeux,vous les vivants,vous n'êtes pas digne,de vivre sur la Terre,d'ici trois lunes,on vous attendra à la vallée,là où vous aviez tué,les personnes à coup de virus artificiels !
- j'y serais
- dans trois lunes dans ce cas,on se reverra sur un champs de bataille.